#StopTotal

Total et l’industrie des combustibles fossiles sont à l’origine de la crise climatique et continuent à obstruer l’action.
Ils ont retardé l’action contre le dérèglement climatique depuis des décennies.
Le vent a tourné : notre mouvement est inarrêtable.

 

Passez à l’action !

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Engagez-vous contre les abus de Total 💥

 

Le géant pétro-gazier Total réalise des profits records, alors que nous peinons à payer nos factures d'énergie qui ne cessent d’augmenter.

En dépit de son greenwashing, Total détruit la nature, des vies et des communautés dans le monde entier - de la fracturation à Vaca Muerta, en Argentine, à la construction du méga-oléoduc EACOP en Ouganda et en Tanzanie.

Il faut que cela cesse ! Ajoutez votre nom et opposez vous à Total et ses pratiques destructrices.

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Trop c'est trop ! Cette année encore, Total et son PDG Patrick Pouyanné annonce de nouveaux profits record, les plus élevés jamais faits par une entreprise en France.

Total a les milliards, mais nous sommes des millions. Nous appelons les citoyen·nes à s'engager contre les abus de Total.
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Des millions de personnes prennent des mesures simples et rapides pour la justice climatique : rejoignez-les. Nous autorisez-vous à vous envoyer des emails sur les campagnes, les actus et les actions importantes ?

En soumettant vos informations, vous adhérez à notre politique en matière de confidentialité ainsi qu’à nos conditions de service. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment.

Nous avons trois objectifs :

Nous sommes un puissant mouvement composé de citoyen.ne.s du monde entier qui s’efforcent de bâtir un avenir préservé des impacts destructeurs du dérèglement climatique et débarrassé des multinationales fossiles, gigantesques et incontrôlables, qui en sont la cause.

Les campagnes mises en avant sur ce site visent à priver Total et l’industrie fossile de tout ce dont elle a besoin pour prospérer et survivre : le soutien du grand public, le soutien des responsables politiques et leurs financements.

Nous nous appuyons sur le large soutien populaire en faveur des énergies renouvelables justes pour toutes et tous afin d’obtenir un système énergétique basé à 100% sur les énergies renouvelables. Ces engagements permettent non seulement de transformer notre système énergétique, mais également d’aider et de reconvertir les travailleur.se.s touché.e.s par ces évolutions et de rendre aux populations la maîtrise de leur énergie.

A PROPOS :

Total est l’une des 20 entreprises fossiles ayant le plus contribué au dérèglement climatique depuis 1965 et malgré sa volonté de se renommer Total Energies, la multinationale pétrolière et gazière continue aujourd’hui à produire 447 unités d’énergies fossiles pour une seule d’énergies renouvelables. Face au besoin d’alternatives approuvés par la communauté scientifique et les Etats du monde entier, Total redouble d’efforts de communication pour s’imposer en « major de l’énergie responsable », laissant présumer une inflexion majeure de la stratégie du groupe. Mais Total a multiplié en quelques années de nouveaux méga-projets fossiles, et prévoit de les poursuivre ou de les amplifier, notamment dans des pays qui subissent déjà les conséquences les plus dramatiques du dérèglement climatique, comme en Ouganda, Afrique du Sud, Mozambique, ou en Argentine.Pour limiter le réchauffement à 1,5°C, ou même 2°C, et respecter les objectifs de l’Accord de Paris, les données sont sans appel : aucune nouvelle infrastructure fossile ne peut être développée, comme l’a rappelé l’Agence Internationale de l’Énergie, certaines exploitations déjà en opération devront être fermées avant la fin de leur durée de vie et la production d’énergies fossiles doit diminuer de 6% par an jusqu’en 2030. Or, Total continue d’investir massivement dans le développement de nouveaux projets d’énergies fossiles : si la stratégie climatique de Total ne change pas, en 2030, les énergies fossiles capteront toujours plus de 80% des investissements de TotalEnergies.

Stop EACOP : Le géant pétrolier français Total et la China National Offshore Oil Corporation sont sur le point de construire un gigantesque oléoduc de pétrole brut en plein cœur de l’Afrique, déplaçant des communautés, mettant en danger la faune et la flore et rapprochant le monde d’une véritable catastrophe climatique. L’oléoduc de pétrole brut d’Afrique de l’Est doit être arrêté et nous avons un plan pour y parvenir. Plus d’un million de personnes ont déjà fait entendre leur voix et même les députés européens se mobilisent contre cette bombe climatique – ensemble, nous pouvons #StopEACOP et soutenir des alternatives durables et justes menées pour et par les populations d’Afrique de l’Est. Vous en êtes?

L’Ocean Destruction Total: En Afrique du Sud, TotalEnergies s’apprête à déclencher une nouvelle bombe climatique. Malgré l’abondance des ressources solaires et éoliennes, nos océans sont menacés par des compagnies pétrolières comme Total, qui semblent déterminées à ignorer la crise climatique et à extraire jusqu’au bout les derniers profits des énergies fossiles.<

Total Ment : Depuis 1971, Total est averti du réchauffement climatique. Depuis 1971, Total ment et organise la désinformation pour protéger ses profits.

Dans un article publié en Octobre 2021 dans la revue académique internationale Global Environmental Change, trois historiens révèlent que les dirigeants et salariés de TotalEnergies (à l’époque Total et Elf) ont été avertis de la possibilité d’un dérèglement climatique sans précédent dû à la production de combustibles fossiles dès 1971. Ils documentent comment la multinationale a consciemment mis en place, au cours de ces 50 dernières années, différentes stratégies de fabrique du doute autour de l’urgence climatique afin de discréditer la science, et empêché par un lobbying féroce toute forme de régulation de leurs activités, tout en continuant à développer massivement et presque exclusivement les énergies fossiles.

Ces révélations ont apporté les preuves que TotalEnergies et les autres majors pétrolières et gazières ont volé le temps précieux d’une génération pour enrayer la crise climatique. Les conséquences désastreuses du dérèglement climatique que nous vivons actuellement auraient pu être évitées s’il y a 50 ans dans une salle de réunion, des dirigeants n’avaient pas calculé sciemment que quelques décennies de profits supplémentaires valaient davantage. Total nous a fait perdre 50 ans pour enrayer la crise climatique. Ne perdons pas une minute de plus !

La poursuite d’investissements massifs pour développer de nouveaux gisements de pétrole et de gaz dans les années à venir finira par coûter des millions de vies. Mais les grandes banques mondiales continuent chaque année d’investir de plus en plus dans l’industrie fossile. Ce sont ces investissements qui facilitent le développement des projets mortières de Total.

Tant que cet argent continuera d’alimenter les nouveaux projets d’énergies fossiles, nous n’aurons aucune chance d’arrêter le dérèglement climatique et d’entamer une transition juste. Mettre fin à ces financements est une première étape essentielle pour permettre une baisse rapide et continue des énergies fossiles, compatible avec un scénario de réchauffement de 1,5 °C.En augmentant leurs investissements dans les énergies fossiles, les banques et l’industrie de la finance exposent la planète et les populations à des risques extrêmement élevés. Leur responsabilité climatique est donc considérable.

C’est la raison pour laquelle des campagnes sont lancées dans le monde entier pour appeler les banques, les ministres des finances et les gouvernements à cesser de financer les énergies fossiles. Aidez-nous à exercer plus de pression sur ces institutions pour qu’elles prennent les bonnes décisions : engagez-vous à agir contre ces institutions qui financent le désastre climatique.Les banques qui financent TotalEnergies doivent cesser de financer de nouveaux projets d’exploration et d’exploitation d’énergies fossiles et les acteurs financiers en général doivent rejoindre le mouvement mondial de désinvestissement des combustibles fossiles.

Amundi est désormais le premier actionnaire au monde de TotalEnergies. Crédit Agricole, sa maison mère, en est le premier investisseur avec 7,9 milliards d’euros investis dans la multinationale entre 2016 et 2020. Du monde entier, nous lançons un appel aux banques et aux institutions financières : il est temps de couper les vivres à Total.

Contraignons BNP Paribas, par la loi, afin qu’elle stoppe ses activités climaticides et prenne ses responsabilités en mettant en place au sein de son organisation une transition écologique ambitieuse et juste.

Oxfam France : Quoiqu’il en coûte : les banques françaises au secours de l’industrie fossile

Change de banque

Total a été historiquement confronté à de multiples allégations de corruption et à la mise en cause de sa responsabilité pour de graves atteintes à l’environnement et aux droits humains. Si, comme l’a très bien documenté Alain Denault dans son livre « De quoi Total est-elle la somme », les lacunes juridiques ou le détournement du droit ont permis à Total de se livrer à des activités destructrices de manière souvent légale, la multinationale se retrouve toutefois confrontée à de nouveaux risques juridiques imminents et de plus en plus tangibles en continuant à miser sur des projections incompatibles avec les objectifs de l’Accord de Paris et doit faire face à la nouvelle loi sur le devoir de vigilence.

Total au tribunalLes Amis de la Terre France, Survie et 4 associations ougandaises poursuivent Total en justice en France depuis 2019. Les projets EACOP et Tilenga affectent les terres d’environ 118 000 personnes. Les expropriations se font dans l’absence totale de consentement libre, préalable et informé. Des pressions sont exercées contre les personnes affectées pour les forcer à céder leurs terres en acceptant les conditions de TotalEnergies et des gouvernements ougandais et tanzanien. Les terres et les cultures sont sous-évaluées, ne permettant pas une compensation adéquate des populations. Les compensations sont versées avec des retards majeurs. Les personnes affectées ne peuvent pas utiliser leur terre librement, ce qui provoque des pénuries alimentaires, des pertes de revenus, une déscolarisation importante, de graves difficultés d’accès aux soins, et la détérioration des habitations (interdiction de les réparer).

Les territoires qui se défendent : Les villes et collectivités territoriales sont en première ligne face aux nombreux enjeux d’adaptation et d’atténuation des impacts du changement climatique. La lutte contre la précarité énergétique, le renforcement des financements pour protéger la biodiversité, la prévention contre les incendies et les inondations sont autant d’exemples de l’accroissement des défis rencontrés par ces acteurs.
Les collectivités sont également contraintes d’assumer les coûts de l’inaction climatique des entreprises les plus émettrices de gaz à effet de serre, au premier rang desquelles figure TotalEnergies. En lien avec les ONG à l’origine du contentieux, notamment Notre Affaire À Tous, les villes de New-York, Paris et Poitiers ont rejoint la coalition des collectivités et associations visant à réhausser les ambitions climatiques de Total.

Pour les organisations de PJC, alliance écologique et sociale, l’argent nécessaire est mobilisable : ce sont les superprofits. Ceux-ci sont engrangés par des multinationales qui ont profité de la crise sanitaire ou de la guerre en Ukraine, pendant que des millions de personnes se sont appauvries et que les effets du changement climatique sont de plus en plus criants. Ainsi, Total cumulait 6 milliards de bénéfices annuels en moyenne entre 2018 et 2020. En 2021, ce chiffre est monté à 16 milliards.

Nous proposons de mettre en place un mécanisme de taxation de ces super profits et d’en affecter le produit à des mesures d’urgence, ciblées, destinées à maintenir le pouvoir d’achat des ménages les plus impactés par les hausses de prix, tout en accélérant la transition écologique.Au lieu de distribuer des chèques et de ne proposer que des rustines sans portée sociale et qui relancent les énergies fossiles, sans aucune vision à moyen et à long terme, nous proposons de profiter de cette situation pour que toutes les mesures d’urgence soient un accélérateur de la transition écologique et un déclencheur de mesures beaucoup plus structurelles.

Des millions de personnes ont de plus en plus de mal à se nourrir. Les prix de l’énergie explosent, contraignant des millions de travailleuses et de travailleurs à payer leur essence au prix fort. Néanmoins, les mesures d’urgence à prendre contre cette baisse du pouvoir d’achat ne doivent surtout pas se traduire par une relance des énergies fossiles ni retarder la transition énergétique. En outre, la hausse des prix de l’énergie et des matières premières et l’inflation ne sont pas dues à des pénuries de ressources, mais à des situations spéculatives et à des profits de guerre.

D’un côté, les conditions de vie et le pouvoir d’achat des plus défavorisés se dégradent, de l’autre, les milliardaires et les multinationales ne se sont jamais autant enrichis. Des pans entiers de notre économie sont à reconvertir et relocaliser.

Nous devons sortir des énergies fossiles au plus vite, reconstruire notre système de santé et sortir de l’agriculture industrielle.

Si nous sommes au moins 100 000 signataires, cette pétition permettra donc de remettre le sujet d’une taxation des superprofits dans le débat législatif. C’est donc une opportunité majeure pour la justice sociale et écologique !

Holding the fossil fuel industry accountable for its role in the energy crisis

Comme l’a démontré le rapport d’InfluenceMap2, l’industrie fossile et Total mobilisent des ressources faramineuses dans des campagnes de communication et de lobbying, pour duper l’opinion publique – en mettant au premier plan leurs initiatives soi-disant « bas carbone » pourtant très largement insuffisantes ou inadaptées – ainsi que les décideurs, afin de les convaincre qu’il est possible de concilier les investissements massifs dans de nouveaux gisements de combustibles fossiles avec l’impératif climatique, que le gaz est une «énergie propre» ou que la capture et stockage de carbone serait une solution miracle, autant de fausses solutions qui nous font perdre un temps précieux.

Au niveau européen, la campagne “Fossil Free politics” réunit plus de 200 organisations qui demandent la fin des liens toxiques entre les lobbies des énergies fossiles et les décideurs politiques.  

Influence Map: Big Oil’s Real Agenda on Climate Change

Decouvrez comment Total exerce son soft power

Comment Total influence la sciences

Mettre en place un fonds de dédommagement en France pour les dommages liés au changement climatique; engager la France dans des discussions internationales pour faire aboutir un tel fonds à ce niveau; Obliger Total à participer à des fonds de dédommagement des dommages liés au changement climatique à hauteur de sa contribution actuelle au changement climatique (1% des GES).

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Pour que la multinationale soit enfin tenue responsable des dommages qu’elle cause.

Pour que ces nouveaux projets fossiles ne puissent voir le jour, et que ceux en développement soient arrêtés.

Pour que justice soit rendue possible aux communautés, aux cultures, aux écosystèmes détruits à travers le monde.

Pour que nous puissions avoir un futur possible.

Pour la justice climatique et sociale.

Pour des conditions de vie dignes pour toutes et tous

Pour des énergies propres et abordables

Pour des solutions portées par les citoyen·nes de tous horizons.

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